2019 est mort, vive 2020...
J’arrive à émerger difficilement. Il a fallut que je dorme un peu, que je passe un temps considérable dans la salle de bain, et que j’arrive à reconstituer ma soirée/nuit du Nouvel An. Ce n’est pas très glorieux.
On a fait quelques folies au niveau du repas, on a mangé quelques petites choses inhabituelles. On a même fait un cocktail au rhum… qui n’a pas fait long feu, bien entendu. Je crois me souvenir qu’on formait une belle bande de six personnes ivres, marchant d’un pas vacillant dans les rues en racontant des conneries. Je ne sais plus vraiment si on était six ou sept, certains partaient et d’autres arrivaient, l’appartement dans lequel on avait décidé de faire notre "camp de base" était ouvert à n’importe qui, au final. On m’a entraînée dans des bars, j’ai bu et j’ai dansé, j’ai eu deux numéros, j’ai oublié de payer le dernier verre que j’ai pris, j’ai couché avec quelqu’un aussi mais rien de mémorable, j’ai encore perdu une écharpe, à un moment j’ai appelé ma mère et j’ai découvert qu’elle était encore plus bourrée que moi, j’ai réussi à dissimuler mes cicatrices sur le bras grâce à un gros bracelet… en bref, 2019 est mort et vive 2020…